Depuis quelques années, le chauffage électrique se fait progressivement coiffer au poteau pour le chauffage au gaz naturel. Pourquoi, alors que l'électricité avait la côte pour la production de chaleur dans les foyers, le gaz naturel, pourtant plus cher et plus énergivore, fait-il son grand retour chez nous ? Quelles sont les raisons qui poussent les consommateurs à opter pour le butane, propane et autres bouteilles de gaz ? Pourquoi le chauffage au gaz naturel a-t-il supplanté le chauffage électrique ?
Le gaz naturel, le retour du Jedi ?
Quand vient le moment de choisir son mode de chauffage, plusieurs critères de sélection entrent en jeu : prix, entretien, efficacité, empreinte énergétique, installations... Depuis 2010, le gaz naturel a supplanté l'électricité comme mode de chauffage préféré dans les logements neufs. La cause principale ? La réglementation thermique entrée en vigueur fin 2012, à l'origine de cette tendance qui visiblement n'est pas prête de s'inverser. En effet, jusqu’à très récemment, le secteur de la construction privilégiait le chauffage électrique qui équipait près de 70% des logements neufs (en 2008).
Pourtant, la tendance s'est inversée vers 2010? À cette époque, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d"électricité, indiquait que près de 60% des logements construits avaient été équipés au gaz dans son bilan prévisionnel.
Ces données tordent le coup à une idée répandue selon laquelle les logements neufs seraient toujours équipés massivement en radiateurs électriques, qui ont longtemps prévalu en France.
La chute de la part de marché du chauffage électrique dans le neuf, qui est descendue à près de 40 % en 2011, un niveau plus bas que celui de 2001 devrait s’accélérer dans les prochaines années.
Pourquoi un tel revirement ? Outre son prix, le chauffage au naturel procurerait un confort que ne possède pas son alter ego électrique, notamment dans les logements sujets à des problèmes d'isolation. La chaleur serait diffusée de façon plus uniforme, et n'assècherait pas l'air. Là où les convecteurs électriques s'avèrent les plus énergivores du marché, le chauffage au gaz naturel permettrait de grandes économies d'énergie, et une meilleure qualité de vie.
Contrairement au système électrique, qui rencontre des problèmes de stockage et de production lors des périodes de pointes, le gaz naturel est plus facile à stocker et ne connait pas de coupure, même en période de très fortes demandes (pendant les moins d'hiver).
Pourtant, la tendance s'est inversée vers 2010? À cette époque, RTE, le gestionnaire du réseau de transport d"électricité, indiquait que près de 60% des logements construits avaient été équipés au gaz dans son bilan prévisionnel.
Ces données tordent le coup à une idée répandue selon laquelle les logements neufs seraient toujours équipés massivement en radiateurs électriques, qui ont longtemps prévalu en France.
La chute de la part de marché du chauffage électrique dans le neuf, qui est descendue à près de 40 % en 2011, un niveau plus bas que celui de 2001 devrait s’accélérer dans les prochaines années.
Le chauffage au gaz, une qualité supérieure ?
Pourquoi un tel revirement ? Outre son prix, le chauffage au naturel procurerait un confort que ne possède pas son alter ego électrique, notamment dans les logements sujets à des problèmes d'isolation. La chaleur serait diffusée de façon plus uniforme, et n'assècherait pas l'air. Là où les convecteurs électriques s'avèrent les plus énergivores du marché, le chauffage au gaz naturel permettrait de grandes économies d'énergie, et une meilleure qualité de vie.
Contrairement au système électrique, qui rencontre des problèmes de stockage et de production lors des périodes de pointes, le gaz naturel est plus facile à stocker et ne connait pas de coupure, même en période de très fortes demandes (pendant les moins d'hiver).
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